Les Talons Rouges (Épisode N°06) Vi – La Comtesse

LES TALONS ROUGES (épisode N°06)

Agathe, âgée de quarante-cinq ans et assez effacée, elle se laisse dépuceler et dévergonder par Jacques, un jeune homme de trente-deux ans, ami de son neveu. Le beau Jacques profitant de sa candeur et de son innocence la dévergonde, entraînant également la sœur d’Agathe, la belle comtesse Gaëlle de Santesteban, qui elle, approche de la cinquantaine.

VI – La Comtesse

Jacques est reparti à Paris pour ses affaires et, parcourant l’Europe en tous sens, il n’a pu avoir le temps de revenir chez ses amis du Pays Basque. Quelques échanges téléphoniques avec Agathe qui attend son retour avec impatience, lui écrivant des lettres impudiques et enflammées. Par contre il n’a aucune nouvelle de Gaëlle qui a dû retrouver sa vie trop calme auprès de son mari insipide. D’ailleurs, cette dernière l’a évité les jours qui ont succédé à leur nuit orgiaque et ce, jusqu’à son départ pour Paris. Agathe lui a dit que sa sœur regrettait de s’être donnée ainsi en spectacle et qu’elle avait peur que cela se sache. D’ailleurs, elle avait participé au jeu que sa sœur lui avait proposé avec beaucoup de réticence. L’ennui sexuel qui était le sien depuis de longues années avait sans doute attiré son attention, et puis, découvrir un amant à sa sœur qui lui avait avoué sa défloration avait piqué sa curiosité. Lorsque Jacques revient chez ses amis, près de cinq mois se sont écoulés. Agathe n’est pas au château, elle est partie pour une croisière en Grèce de trois semaines, accompagnant une vieille tante à héritage. Son retour étant prévu dans une dizaine de jours.

À l’arrivée de Jacques, le comte Adrien de Santesteban lui annonce qu’il doit visiter les fermes qu’il possède en Espagne pour une durée de six à sept jours. Jacques qui projette de louer une partie inoccupée du château pour le tournage d’un film qu’il doit produire s’en ouvre à son ami. Celui-ci, prétextant son absence, confie à son épouse Gaëlle le soin de faire visiter les parties du château qui pourraient intéresser Jacques.

Alors que Gaëlle évite Jacques depuis la soirée passée avec sa sœur, elle se trouve ainsi dans l’obligation de se retrouver en tête-à-tête avec le seul amant qu’elle ait jamais eu, et ce, durant plusieurs jours à cause du voyage de son mari. Aussi, c’est une femme très angoissée qui se trouve dans l’obligation de rejoindre Jacques pour cette visite qu’elle appréhende.

La propriété bâtie est immense, plus de deux mille cinq cents mètres carrés, dont une grande partie est inemployée. Les occupants actuels se suffisent de six cents mètres pour eux et leurs invités. Après plusieurs couloirs et cinq à six portes ouvertes et refermées à clé, Jacques et Gaëlle visitent des appartements princiers, dont les meubles d’époque sont recouverts de housses, les fenêtres étant occultées par de lourds volets en chêne. Jacques, intrigué, a bien remarqué que Gaëlle a refermé soigneusement à clé derrière elle chaque porte qu’elle a ouverte. Une fois dans les appartements, très loin de la partie du château habitée, elle se tient droite, la tête baissée, tournant le dos à Jacques. Elle a certainement des remords à la pensée de la nuit de débauche qu’elle a passée avec sa sœur et avec l’homme qui l’accompagne aujourd’hui ; mais son attitude fait aussi penser à une proie offerte qui est incapable d’échapper à son prédateur. Cela n’a pas échappé à Jacques, qui, s’adressant soudainement à elle, la brusque par son ton agressif.

- Ma chère comtesse, à présent que nous sommes loin des personnes indésirables qui pourraient nous observer, permettez-moi de vous dire que vous pourriez vous montrer plus aimable à mon encontre. Je sais que vous auriez voulu garder le secret sur notre nuit agitée, afin que j’ignore qui j’avais baisé en même temps que votre adorable sœur. Sachez que j’y ai prit un grand plaisir et que votre corps me laissera des souvenirs inoubliables, même si…, je n’en ai pas fais le tour ou plutôt, mon regret est de ne pas connaître toutes les ressources dont vous seriez capable.
Votre attitude de cet après-midi m’étonne. Après avoir scrupuleusement verrouillé les portes que nous avons franchies, vous attendez que je vous viole. C’est peut-être ça qui vous excite. Non ?

Gaëlle ne répond pas, atterrée par les propos de l’homme qui n’aurait qu’un mot à dire pour compromettre à jamais sa réputation en révélant le déshonneur de sa conduite, et, qui sait, faire demander le divorce par son mari qui doit être bien loin d’imaginer sa trop chaste épouse faire l’amour avec sa sœur et le camarade de son fils. Pendant le temps de l’introspection intime de son suborneur, elle n’a pas changée de position, se tenant toujours la tête baissée, les bras ballants le long de sa robe en laine grise qui lui arrive aux chevilles.

Jacques, sentant sa proie à sa merci, s’approche et vient se placer derrière elle, presque jusqu’à la toucher. Il sent sa respiration s’accélérer, alors qu’elle reste immobile, attendant on ne sait quoi. Jacques, lui demande de relever de ses deux mains sa robe jusqu’au genou. Sans un mot, elle s’exécute, presque à son corps défendant, tremblant en pensant à ce qui va advenir de sa personne, mais troublée par le plaisir pervers qu’elle ressent à ce que cet homme pourra exiger d’elle. Jacques flatte sa croupe, ce qui provoque chez elle une réaction rebelle, essayant de se soustraire à l’homme qui crispe ses doigts sur ses fesses rebondies. Son indignation est bien vite étouffée par les propos de l’homme.

- Allons ma chère, ne soyez pas si sauvage, il y a cinq mois, vous étiez plus disponible alors que complètement nue vous vous donniez à moi et sans que rien ne vous y oblige. Relevez encore votre robe, je veux voir vos fesses. Allons plus haut. C’est incroyable, vous portez aussi un collant, et en gros coton gris de surcroît. Quel érotisme ! Écartez vos jambes, encore, oui comme cela. Ne bougez surtout pas où je risque de vous blesser.

Jacques a bien compris que cette femme veut être dominée.
La peur est certainement pour elle, l’unique moyen de se déculpabiliser. Sortant de sa poche un couteau à cran d’arrêt, l’homme le déclenche d’une pression. Une longue lame acérée en sort d’un seul coup faisant sursauter la pauvre châtelaine. Glissant la lame en haut des reins de Gaëlle, il imprime à la lame une traction de haut en bas, découpant à la fois, le collant et la culotte en coton qui se trouve en dessous, la lame descend jusqu’à l’entrejambe, au grand effroi de la quinquagénaire qui voit déjà sa dernière heure venue. Il la fait se retourner vers lui et lui demande de se trousser aussi par-devant. Fermant les yeux, elle s’exécute, alors que Jacques, passant la lame à la hauteur du nombril découvert, tranche le reste du collant et de la culotte, faisant glisser le dos de la lame sur le ventre et la vulve, ajoutant des frémissements de panique à la pauvre aristocrate. Gaëlle tremble de tous ses membres alors que les deux accessoires de sa féminité se retrouvent bientôt pendants par-dessus ses genoux. Elle est morte de honte et de frousse, mais elle n’en a pas fini avec les sarcasmes de son tourmenteur.

- J’ai horreur des collants, vous porterez dorénavant des bas autofixants ou, ce qui me serait plus agréable, des porte-jarretelles et des bas de soie, noirs de préférence. Quant à la culotte, vous pouvez très bien vous en passer dans l’immédiat et ce, jusqu’au retour de votre époux. J’aurais ainsi votre sexe et vos fesses plus facilement à ma disposition. Me suis-je bien fait comprendre ou faut-t-il qu’Adrien soit au courant de vos turpitudes ?

- Non je vous en supplie, je ferai tout ce que vous voudrez. Il ne se rendra compte de rien. Il ne m’a pas touché depuis plus de dix ans, et comme nous faisons chambre à part, mes dessous ne risquent pas de l’interpeller.

- Je vois que vous devenez raisonnable, retirez le reste de vos bas, ainsi que votre culotte, et puis votre robe aussi. Votre combinaison n’est pas des plus érotiques, enlevez là, je vous veux complètement nue.
Venez près de moi. Allons ne tremblez pas, je ne veux que vous éduquer, ce qu’aurait dû faire votre mari depuis fort longtemps. Installez vous sur cette table, Allons asseyez-vous. Remontez vos genoux. Maintenant écartez vos cuisses. Ne faites pas votre mijaurée, je veux voir votre sexe se déployer devant mes yeux et votre vulve s’ouvrir. Voilà. C’est bien. Ouvrez encore vos lèvres avec vos doigts. Maintenant masturbez-vous. Jusqu’à l’orgasme et ne trichez pas.

Gaëlle a des grosses larmes qui coulent sur ses joues, consciente de son indignité dans cette position infamante. Pourtant, domptée, elle ne se dérobe pas aux injonctions cruelles de l’homme avec qui elle a eu une relation coupable, il y a peu et qui, elle ne peut s’en cacher, lui a procuré un bonheur intense.

Elle se laisse aller en arrière, fermant les yeux pour ne pas voir le regard attentif et curieux de l’homme qui détaille avec avidité chaque parcelle de son intimité. Puis, elle écarte de sa main gauche ses grandes lèvres, tout en faisant saillir le bouton de son clitoris, enfin, de l’autre main, déployant ses doigts, elle se caresse d’abord lentement, frôlant son bourgeon d’amour avec délicatesse. Puis, elle accélère légèrement la cadence de sa masturbation, pour bientôt ne plus se contrôler, secouant sa tête en tous sens, râlant et feulant de joie au plaisir qu’elle se donne, ayant oubliée complètement qu’une tierce personne observe ses égarements solitaires et sa posture indubitablement obscène. Alors qu’elle commence à ne plus se soucier des circonstances dans lesquelles elle se trouve, un violent orgasme se déchaîne dans son corps en feu, alors qu’elle ne peut s’empêcher de haleter et de gémir bruyamment à la joie qu’elle se donne. S’étendant de tout son long sur la table, elle se laisse aller dans un état de prostration profond, n’ayant plus aucune défense à opposer à la concupiscence de l’homme qui l’entraîne dans ses errements libidineux.

Jacques scrute avec avidité le corps gracile de Gaëlle dont la position lascive est de la plus belle esthétique. Il admire ses attaches fines, ses petits seins en poire dont les bourgeons se dressent orgueilleusement, ses jambes et ses cuisses longues et finement galbées, sa vulve délicatement ourlée d’un duvet fin comme celui d’une jeune fille. Il arrête son regard sur son visage ovale, détendu par le plaisir éprouvé et sans aucune ride déplaisante. Ses cheveux, blond platine, sont encore roulés en chignon, et sont apparemment longs et très soyeux. Ce qu’il a pu voir de sa croupe, lui a révélé qu’elle possède de petites fesses bien rondes et fermes à croquer. Cette femme est étonnamment sans âge et il n’en éprouve que plus de désir à la combler et à lui faire découvrir des pratiques voluptueuses.

Se déshabillant en un tour de main, et montant sur la grande table recouverte d’une housse de protection, Jacques s’allonge à côté de la belle Gaëlle, qui frémit lorsqu’il pose ses lèvres sur sa bouche. Elle entrouvre ses lèvres presque aussitôt lorsqu’il introduit sa langue dans sa bouche humide et accueillante, répondant de sa propre langue au baiser qui la fait chavirer de bonheur. Jacques caresse sa gorge avec un certain doigté, attisant les bourgeons érigés, les pinçant légèrement, puis quittant la bouche de Gaëlle, il suce à tour de rôle les pointes des petits seins affriolants qui le font bander. Il frotte son sexe dur contre le corps de la femme qui ne peut ignorer son excitation. Alors, Jacques, la retournant un peu brutalement sur le ventre, lui intime de se mettre à genoux. Docile, égarée par les excès immoraux auxquels elle se prête sans protester, elle prend cette position humiliante, cachant sa tête entre ses bras croisés sur la table.

Jacques braque ses yeux sur le postérieur offert, détaillant les globes charnus qu’il écarte de ses deux mains, accentuant l’écartèlement pour examiner la raie culière et la rosace de l’œillet qui se contracte violemment sous son œil indiscret. Il savoure d’avance le plaisir qu’il aura bientôt de pouvoir enculer la divine comtesse, alors que celle-ci éprouve les plus grandes craintes à cette position honteuse qu’elle offre à son tourmenteur. Cependant, celui-ci veut seulement pour cette fois la baiser. Aussi, il s’approche du cul convoité, puis, introduisant sa verge entre les fesses craquantes de la belle, il force l’entrée de la chatte, enfournant son vit jusqu’à la garde, arrachant à la belle Gaëlle un bref cri de surprise et de douleur, au membre qui vient buter au bord de son utérus.

Il la baise lentement et interminablement, allant et venant avec vigueur dans son vagin étroit ce qui lui procure une jouissance intense, surtout que la posture dégradante qu’il lui impose accroît sa volupté perverse. Enfin, ne pouvant plus se contenir, il éjecte par saccades, son sperme dans la matrice violentée, s’étendant de tout son long sur le dos de la femme qui sous le poids de l’homme se laisse aller sur la table. Gaëlle n’a pu s’empêcher de jouir bruyamment à cette pénétration infamante qui a stimulé ses sens, déjà suffisamment enflammés par sa masturbation et les caresses que Jacques lui a prodiguées. Elle n’ose regarder l’homme qui la fait tant jouir, honteuse de son inconduite, malgré le bonheur qu’elle en a ressenti.

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